Nos projets
AFREQEN : Qualité en enseignement supérieur Pour les énergies renouvelables en Afrique du nord et de l’ouest
Un projet européen pour contribuer au développement de l’accès à l’énergie, à l’indépendance énergétique, à la promotion des énergies renouvelables et à la préservation de l’environnement en Afrique du Nord et de l’Ouest par le renforcement des compétences des professionnels œuvrant dans les secteurs de l’énergie et de l’environnement.
Objectifs
– Renforcer les capacités des établissements d’enseignement supérieur en améliorant leurs cursus de formation dans le domaine des énergies renouvelables par la prise en compte de la démarche qualité et du processus métrologique ;
- Améliorer la mise en réseau des établissements d’enseignement supérieur et instituts de recherche entre les pays partenaires et les états membres de l’UE.


Les enjeux du projet
Concevoir et développer des formations adaptées
En réponse à des besoins identifiés pour Métrologie et Qualité, en FI et en FC/FP
Assis sur les résultats du projet QESAMED, en capitalisant les compétences existantes, chez les partenaires
Et pour l’ingénierie de formation ‘Conception – Expérimentation – Validation’
Mettre en pratique les compétences M et Q
Dans les établissements de formation, sur des exemples ‘pilotes’, pour la construction de la formation comme pour la R & D
En bénéficiant de l’expertise des pays de l’UE
Assurer la consolidation du réseau de compétences
Avec une ambition de dissémination à tout le bassin africain francophone
Pour renforcer un réseau de partenaires et d’experts pérenne, doté de moyens d’interactions.
24 Partenaires / 9 Pays :
→ Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM)
→ Centre de coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (CIRAD)
→ Université Catholique de Louvain (UCL)
→ Université de La Laguna (ULL)
→ Institut Agronomique Méditerranéen de Montpellier (IAMM)
→ Université de Perpignan Via Domitia (UVPD)
→ Centre International d’Etudes Pédagogiques (CIEP)
→ Association pour la qualité en recherche et en enseignement supérieur (QuaRES)
→ Comité Africain de Métrologie (CAFMET)
→ Université Cadi Ayyad de Marrakech (UCAM)
→ Institut Agronomique Vétérinaire (IAV) Hassan II
→ Conseil Régional de l’Oriental d’Oujda (CRO)
→ Institut National Agronomique de Tunisie (INAT)
→ Université de Carthage (UCAR)
→ Université Monastir (UMON)
→ Université Mohamed Khider de Biskra (UMKB)
→ Ecole Nationale Supérieure d’Agronomie (ENSA) d’El Harrach
→ Institut International d’Ingénierie de l’Eau et de l’Environnement (2iE)
→ Université de Ouagadougou (UOUAG)
→ Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD)
→ Université Gaston Berger de Saint-Louis (UGB)
→ Institut National Polytechnique Houphouët Boigny (INPHB)
→ Université Félix Houphouët Boigny (UFHB) de Cocody ENDA Energie (ENDA)
→ Agence Universitaire pour la Francophonie (AUF)
Informations complémentaires
La plaquette de présentation
QESAMED
Un projet européen pour la métrologie et la qualité dans les établissements d’enseignement supérieur et de recherche agronomique en Méditerranée
Le projet est coordonné par le Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM) ainsi que le Centre de coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (CIRAD). Le consortium est constitué de 23 organismes dont le Comité Africain de Métrologie (CAFMET).
Cofinancé par le programme Tempus de l’Union européenne, les membres du consortium algériens, belges, français, italiens, libanais, marocains et tunisiens ont œuvré pour développer les relations entre l’enseignement supérieur et la société dans les pays méditerranéens, tout en s’intéressant à l’amélioration de leur qualité et de leur pertinence.
De 2013 à 2016 puis prolongé jusqu’en mai 2017, le projet QESAMED a ainsi permis de travailler sur le renforcement des capacités d’adaptation des établissements d’enseignement supérieur et professionnels d’Algérie, du Liban, du Maroc et de la Tunisie dans le domaine de l’agronomie. La métrologie et la qualité sont les deux piliers de ce projet.


Le projet EXTRAsup
Le projet EXTRAsup est un projet Erasmus+ de « soutien à la mise en œuvre des réformes liées à l’Espace Européen de l’Enseignement Supérieur». Il est porté par le ministère français de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation (MESRI) et le Centre international d’études pédagogiques (CIEP). EXTRAsup a pour objectif, de novembre 2016 à mars 2018, de rassembler les acteurs de l’enseignement supérieur français et des expert-es européen-nes pour élaborer ensemble un kit méthodologique à destination des établissements, des enseignant-es et étudiant-es qui voudraient se lancer dans une démarche de reconnaissance et de validation des acquis de l’expérience et des compétences développées par les étudiant-es au cours d’activités citoyennes ou d’engagements personnels au sein de leur parcours de formation dans l’enseignement supérieur.
Un projet en 4 étapes
– 2 enquêtes (une française et une européenne) réalisent un état des lieux et posent un diagnostic sur la problématique de la reconnaissance des acquis extra-curriculaires (AEC).
- Trois groupes de travail réunissant les différentes parties prenantes (enseignant-es, étudiant-es et responsables qualité) élaborent un document de synthèse illustrant la vision du terrain sur la reconnaissance des AEC.
– Un Kit méthodologique à l’usage des établissements d’enseignement supérieur propose d’accompagner la mise place de la reconnaissance des AEC.
– Une conférence finale permettra de présenter les résultats des travaux des participants à EXTRAsup.


Les acteurs du projet
En France, participent à EXTRAsup le ministère de l’’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, le Centre international d’études pédagogiques (CIEP), le réseau RELIER, l’association QuaRES, les parties prenantes (enseignant-es, agence d’évaluation, conférences, syndicats étudiants, etc), les étudiant-es et l’agence nationale Erasmus +.Les acteurs européens sont l’ESU (European Students’ Union – Union des étudiants d’Europe), le DAAD (Deutscher Akademischer Austauschdienst – Office allemand d’échange universitaire), le BFUG (Bologna Follow-up Group – Groupe de suivi de Bologne) et l’Université Libre de Bruxelles.
A partir des travaux des groupes, le comité de pilotage rédige désormais le kit méthodologique d’accompagnement à la mise place de la reconnaissance des AEC, à l’usage des établissements d’enseignement supérieur et de recherche.
MAQMET
Un projet de conception et de mise en oeuvre d’un master spécialisé en métrologie et qualité. Le Master vise à former des cadres de haut niveau de spécialisation dans les domaines de la métrologie et du management de la qualité. Afin de répondre aux attentes et aux besoins du monde professionnel (laboratoires, entreprises…), la formation permet d’acquérir les compétences nécessaires à la mise en place d’un système de management qualité et/ou d’une fonction métrologie.
Afin de garantir la compétitivité du secteur industriel marocain, il est primordial de mettre en place la fonction métrologique au sein des entreprises et des laboratoires. Celle-ci permet de cibler les actions en fonction des besoins réels de l’organisme, d’assurer la maîtrise des instruments à tout moment et ainsi apporter une amélioration continue de la qualité. Cette démarche doit être accompagnée d’une mise à niveau de la formation dans les domaines de la Métrologie, des Analyses et de la Qualité qui fait intervenir une variété de compétences scientifiques et techniques. La formation de profils d’un haut niveau de spécialisation dans ces domaines, dotés de connaissances et compétences scientifiques et des d’outils méthodologiques, offrant une meilleure adaptabilité aux nouvelles mutations, répond parfaitement à cette dynamique et s’avère d’une grande utilité à l’échelle nationale.
Dans ce sens, la création du Master ‘Qualité & Métrologie’ répond à une demande croissante du monde socio-économique en renforcement des compétences dans le domaine du management qualité et de la métrologie. L’AUF a apporté son soutien à cette formation par la signature de la convention MAQMET qui a pour but d’accompagner le fonctionnement du Master au travers de mobilités des enseignants-chercheurs. Ces mobilités permettront un renforcement des capacités dans le domaine du management de la qualité et de la métrologie. L’ouverture de ce master à l’international, en particulier à l’Afrique subsaharienne (Sénégal, Côte d’Ivoire…), est programmée pour 2018-2019.
Objectif général
Former des lauréats de haut niveau de spécialisation dans le domaine de la métrologie et du management qualité capables d’être immédiatement opérationnels dans des postes de responsabilité dans différents domaines : médicament, agroalimentaire, chimie, matériaux, biologie, biomédical, cosmétique, énergie, environnement …
Plus spécifiquement...
1. Donner aux apprenants la capacité de mettre en place (i) un système de management de la qualité et/ou (ii) une fonction métrologie dans une entreprise, 2. Fournir les connaissances de base théoriques et pratiques pour évaluer les incertitudes de mesures associées aux résultats d’analyses biologiques, chimiques et physico-chimiques.
Partenaires
→ Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM)
→ Centre de coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (CIRAD)
→ Institut Agronomique Méditerranéen de Montpellier (IAMM)
→ Association pour la qualité en recherche et en enseignement supérieur (QuaRES)
→ Comité Africain de Métrologie (CAFMET)
→ Université Cadi Ayyad de Marrakech (UCAM)
→ Conseil Régional de l’Oriental d’Oujda (CRO)
→ Institut National Agronomique de Tunisie (INAT)
→ Université de Carthage (UCAR)
→ Université de Montpellier (UM)
→ Université d’Angers (UA)
→ Laboratoire National d’Essais (LNE)
→ Agence Universitaire pour la Francophonie (AUF)